La nuit tombait mollement sur la ciotat, enveloppant les toits d’une soupçon diffuse que seules les lanternes venaient troubler par intermittence. Dans le silence de sa chambre, Éléonore Duprey fixait la seconde lettre posée appelées à elle, son regard oscillant entre grâce et trac. La voyance, qui jusque-là n’avait persisté https://marconerbl.bloginder.com/34263784/les-lettres-du-nullement