Le manoir se dressait, condamnant, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les chemins envahies par les ronces, une constitution de verre et métallique résistait encore au temps : une serre oubliée, occulte arrière un mur de végétation sauvage. Julien, https://felixqybde.pointblog.net/le-jardin-des-ombres-statiques-77351576