L’archéologue scrutait l’horizon, les sables dorées s’étirant de la même façon qu'un océan figé marqué par la lumière du soleil déclinant. Le vent continuait de attaquer des volutes de poussière, mais son corps était ailleurs. Les obscurités qu’il avait vues une période plus tôt n’avaient laissé aucune marque, aucune ecchymose https://voyantmail22975.ourcodeblog.com/33990575/le-sable-et-les-comètes