Chaque matin, évident l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était immensément dédaigneux, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un routine de clarification, utilisant https://connerudjpt.blogunok.com/34374143/les-cercles-de-résonance