La chambrée rond s’était transformée. Ce qui ressemblait à un cabaret familial aux lustres tamisés s’était mué, sans transition visible, en une chambre plus global, où chaque détail obéissait à une esprit ésotérique. Les fauteuils paraissaient plus éloignés, les murs s’étaient élargis sans bruit, tels que si l’espace lui-même réagissait https://andremwcgk.blogvivi.com/35003540/les-marches-interdites