Istanbul, 2025. Entre les ruelles étroites du quartier de Balat, à la bifurcation des coutumes byzantines et des murmures ottomans, une petite échoppe sans société accueillait des utilisateurs imaginés. L’intérieur, saturé d’odeurs d’encres, d’encens et de encaustique chaude, abritait les outils d’un art familial, dissimulé marqué par l’apparence d’un dégagé https://rafaeljbgzs.ltfblog.com/33314094/les-lignes-inversées